Cours de cuisine [PV Shirou] Suite: rencontre brutale.

Ce garçon faisait vraiment de l'effet à Wolfram, pas dans le sens qu'il voulait le mettre dans son lit non... Mais dans le sens qu'il l'attirait d'une façon bizarre. Il le trouvait intéressant, et le côtoyer s'avérait amusant. Il laissa Wolfram en plan dans le café, sans donner de réponse pour savoir si oui ou non il allait venir lui rendre visite dans les cuisines. Quoi qu'il en soit, le blond ne devait pas rester là trop longtemps, il but encore une gorgée de son chocolat chaud et le laissa sur la table à moitié pleins, accompagné de monnaie pour les deux boissons.

Une fois dehors il resserra son manteau contre lui, le froid le prenant jusqu'à la moelle des os. Il se dépêcha d'être de retour au pensionnat, il avait de bonne idée de plat pour ce soir! Surtout avec tout les ingrédients qu'il avait acheté, il allait faire quelque chose de festif et de délicieux surtout.
Cela ne lui prit même pas vingts minutes pour être de retour dans sa cuisine, il regarda une fois l'heure, il pouvait déjà bien commencé à cuisiner si il voulait que les étudiants aies leur repas à la bonne heure. Il s'éclipsa aux vestiaires, retirant ses habits du jours pour se vêtir de ses habits de cuisine, son pantalon bleu aux mini carreaux blancs, sa veste de cuisine blanche nacrée aux boutons dorés, et ses chaussures blanches de cuisines, renforcés par une plaque de métal sur le devant, en cas de chute d’ustensile lourd. Il ferma les vestiaires à clé, bien qu'il ne pense pas que quelqu'un irait s'aventurer dedans. Il a déjà eu le coup de se faire voler des objets alors qu'il était toujours à l'école de cuisine. Une fois dans les cuisines, il retroussa ses manches, sorti ses couteaux de son placard, non sans les contempler au passage. Un cuisinier sans ses couteaux n'est pas un cuisinier, alors on peut dire que les couteaux, sont les instruments le plus important pour un chef.
Il sortit les ingrédients des sacs et les disposa sur les tables en inox, un coté pour l'entré, un pour le plat et un autre coté pour le dessert. Ainsi c'était mieux réparti.

Il se décida à faire en tout premier lieu le plus facial, ce qu'il préfère, et ce qui prend le moins de temps pour la préparation,mais le plus de temps pour le refroidissement, c'est à dire le dessert. Pour ce dernier Il avait opté pour un tiramisu aux 3 chocolat, chocolat noir, chocolat au lait, et chocolat blanc, le tout mit dans des verrines en couche. Il commença à faire fondre les trois chocolats au bain marie sur des becs différentes, remuant de temps à autre pour qu'ils soient bien homogène. Il soupira légèrement et regarda sa montre, se disant que finalement il n'a pas dut vouloir venir. Tant pis... Le repas n'avancerait pas tout seul, alors il fallait bien qu'il s'en occupe!

Il baissa la flemme des becs, la mettant au minimum et se mit au plat. Pour le plat, il avait choisit de faire des ravioles épinards et ricotta. Il allait cependant un peu tricher et prendre de la pâte déjà toute préparer, faire de la pâte pour raviole lui aurait prit trop de temps, il faut laisser reposer la pâte, l’étaler, la sécher et faire des rectangles tous de même diamètre pour pouvoir les fourrer et ensuite les refermer en leur donnant la forme désirée.
Là, la pâte était déjà faite, il n'avait plus qu'à la couper et ensuite la fourrer d'épinard et de ricotta. D'ailleurs, il fallait qu'il chauffe les épinards. De retour devant les fourneaux, il plaça une casserole sur le feu, avec un fond d'eau et déposa les épinards frais dedans, laissant chauffer à couvert. Il en profita aussi pour éteindre les trois autres becs et sortir le chocolat qu'il laissa refroidir sur le coté.

Il allait s'apprêter à faire l'entrée: des verrines de tartare de saumon. Du saumon frai, mixer avec des épices, deux-trois jaunes d’œufs, de l'huile de l'olive, de la crème et du sel et poivre, quelque chose de tout facile, quand son attention se porta vers un bruit qu'il avait entendu. Il se retourna vers la porte, espérant qu'enfin, Shirou était arrivé. Qu'il avait donc bien voulut venir le voir...

Shirou arriva au pensionnat tout trempé fallait bien qu’il se change. Surtout qu’il ne voulait pas attrapé un virus. D’après les rumeurs du pensionnat beaucoup d’élève mais aussi des profs et des employés étaient malade. Evidement pas tous mais certain, après ce n’était que des rumeurs que Shirou ne croyait pas vraiment mais au cas où il préférerait se protéger. Il essaie de se faufilé dans les couloires sans que personne le remarque. Il arriva enfin dans sa chambre et referma la porte discrètement. Il se colla contre le mure juste à côté de la porte d’entré qu’il venait de fermé. Il soupira de soulagement en voyant que son colocataire n’est pas là.

Il regarda sa montre et vit qu’il était déjà si tard. Il se rappelait qu’il devait aller voir Wolfram, mais avant ça il ne voulait pas aller le voir tout trempé surtout qu’on voyait son torse. Il enleva ces vêtements mouille. Les mis dans un panier qui servait à mettre le linge salle. En effet Shirou était très organisé, enfin il n’avait pas vraiment eu le choix avec ce règlement des plus strictes d’après lui.

Il ouvris son armoire et là , il ouvris la bouche . Il en revenait pas quelqu’un était venu dans sa chambre et en avait profité pour mettre tout ces vêtement dans le panier. Maintenant il ne sentait pas terrible. Il soupira en ce demandant qui avait pu lui faire une farce pareil. Enfin heureusement il lui restait quand même une tenue, mais bon il ne la mettait plus trop ici. En effet le jour ou il l’avait mit tout le monde l’avait regardé et même que certain l’avait sifflé et ça l’avait rendu malade. Mais bon, il soupira d’énervement mais il n’avait pas d’autre choix. Alors il mit un pantalon blanc orné d’une ceinture noire. Puis il en fila rapidement une veste de soie bleue dont la veste s’accrochait dans la ceinture et laissa quasiment apparaitre son torse.

Il remit d’un geste ces cheveux en place. Puis vite fait il prit dans son étagère un livre avec une couverture en cuire. Il l’ouvrit et prit rapidement un plume. Il se mit à écrire sa journée. Il savait qu’il était en retard pour wolfram mais il avait besoin d’écrire tout ce qu’il avait vécu et puis il hésitait à venir en cuisine. Au fond il avait peur qu’on le surprend et puis avec ça tenue il se demandait ce qu’allait penser Wolfram. C’était la première fois que son état physique le préoccupait.

[…]

Il avait commencé à raconter sa vie dans se livre depuis que sa sœur le lui avait acheté pour son anniversaire. Il trouvait ça utile de raconté sa vie ainsi. Il avait besoin de parler de ce qu’il ressentait mais difficile de le dire à quelqu’un surtout dans ce pensionnat alors ce carnet, ce journal le faisait tenir à vivre ici, de toute façon il n’avait pas vraiment le choix maintenant qu’il était rentré.

Après un bon quart d’heure, il referma son livre et le replaça dans sa cachette secrète. Il ferma son armoire. Puis il décida d’aller quand même voir Wolfram car il le trouvait sympathique et qu’il avait confiance en lui. De plus, il allait surement culpabiliser de ne pas y être allé alors à la place de se rongé les doigts il préférait aller le voir.

Enfin, il sortie de sa chambre. Il souriait en voyant que très peu de personne trainait à cette heures dans les couloires heureusement pour lui. Il se faufila dans plusieurs couloire pour arriver enfin aux cuisine. Il entra discrètement da la cuisine ou il trouve Wolfram habillé en cuisinier. Il était même un peu surpris de le voir habillé ainsi, car il l’avait vu autrement tout à l’heure. Il ferma la porte derrière lui. Puis baissa la tête un peu gêné d’être vraiment en retard et dit sans le regarder :

-désoler, je suis conscient que je suis vraiment retard … Mais il a beaucoup plu et fallait que je me change j’était tout trempé.

Il releva la tête et vit que Wolfram avait déjà commencer à préparer à manger et dit soulager :

-Heureusement tu ne m’as pas attendu. Tant mieux. Eh puis il y a un élève qui as du me faire une blague j’en sais rien mais tout mes vêtements son parti dans le panier du linge sale alors il me restait plus que ça dans mon armoire.

Il rougissait légèrement et ajouta :

-enfin tout ça pour te dire pourquoi je suis arrivé en retard. Bon d’accord j’essaie de trouver des excuses pour me faire pardonne je te l’accord mais bon j’espère que tu ne m’en veux pas surtout que je n’avais pas dit oui donc en soit on n’avait pas un rendez vous sur. Donc ça va

Il se tut, puis alla se posé sur un comptoir de la cuisine pour regardé ce qu’il faisait de bon. Déjà quand il était entré sa sentait super bon. Il en avait l’eau à le bouche et ajouta en regarda wolfram :

-euh… je ne devrais pas te demandé ça mais est-ce que je pourrais gouter na parce que ça donne vraiment faim.

Il souriait et se déplaça tout près de Wolfram et dit en le regardant droit dans les yeux :

-en plus faut que quelqu’un goute au plat avant que tu les donnes aux élèves on ne sais jamais des fois que les produits que tu as acheter serai empoisonné au moins si je goute tu seras certaine qu’ils ne seront pas malade même si on le sait tout les deux qu’ils ne seront pas malade mais bon ça donne une bonne raison pour me faire gouté et pour que je sois là dans ta cuisine tu en penses quoi ?

Il lui souriait toujours et resta toujours près de lui en attendant, qu’il lui mette quelque chose dans la bouche…

Wolfram était totalement concentrer dans ses plats, plus rien d'autres ne lui importait. Il aurait put y avoir le feu dehors qu'il n'y aurait même pas prêter attention. Par contre, quand il entendit un bruit dans sa cuisine, il ne put que tourner les yeux vers la source de ce bruit. Bien évidemment, tout ce qui touche à sa cuisine l'affecte, sa cuisine est personnelle et quelqu'un s'apprêtait à rentrer dedans. Quand il vit que c'était Shirou il en fut soulagé. Il l’accueillit avec un grand sourie.

"-Ce n'est pas grave ne t'inquiète pas! Je venais à peine de commencer à cuisiner. Et puis, les retardataires savent se faire désirer. N'est ce pas? "

Il lui souri de plus belle, lui disant clairement qu'il s'était fait désirer sans le vouloir. D'ailleurs, il remercia le farceur d'avoir fait une blague de ce genre là, qui rendait Shirou encore plus désirable qu'avec son retard. Il ne s'attarda pas trop sur son corps, bien que maintenant dans la cuisine, deux choses l'intéressaient: poser un regard sur le corps de son vis-à-vis et préparer ses plats. Il préféra continuer ses plats, ne voulant pas les rater alors qu'il aurait tout le temps par après pour améliorer ses relations amicales avec l'élève.

"-Tu sais tu n'as pas besoin de te trouver des excuses, je comprend que ça n'a pas dut être facil. Et le plus important, c'est que tu es là maintenant. "

Il le regarda se poser un peu plus loin, mélangeant dans le chocolat qu'il éteignit; il était juste à la bonne température. Pour faire un bon chocolat, il ne faut pas qu'il soie trop cuit, ni pas assez, il faut juste qu'il soie à la bonne température. Il le retira du feu et s'apprêtait à le mettre dans la chambre froide pour le faire refroidir quand il entendit Shirou demander si il pouvait goûter. Il trouva même des prétextes comme de quoi c'est peut-être empoisonné! Quel culot qui fit rire Wolfram. Il se calma légèrement en se rapprochant de Shirou.

"-Ma cuisine n'est pas empoisonnée, ni mes ingrédients d'ailleurs. Si tu veux goûter il suffit de me le dire sans trouver des excuses hilarantes. C'est avec plaisir que je fais goûter mes plats. "

Il prit trois cuillères, il y avait trois chocolats différents et il comptait bien les lui faire goûter tout les trois. Il le vit ouvrir la bouche et ne put s’empêcher de les regarder, durant le temps où il souffla sur le chocolat pour le refroidir et le temps où il l'apporta à sa bouche il ne quitta pas ses lèvres, elles semblaient si douces et tièdes. La cuillère se glissa dans sa bouche et en ressortie propre. Il fit le même schéma pour les deux autres, soufflant sur le chocolat, puis venant glisser la cuillère dans sa bouche, sans détacher ses yeux de lui.
Après la dernière cuillerée il se recula, feintant d'être occupée pour ne plus se préoccupé de ses lèvres un peu trop attirantes à son goût, il s'enfuit donc déposer les marmites dans la chambre froide, lui demandant entre temps:

"-Alors, c'est lequel ton préféré? Le chocolat au lait, le noir ou le blanc? "