Rencontre brutale.

Le beau temps partait, ce n’était pas sa veine ! Lui qui pensait pouvoir se promener en toute quiétude, sans devoir prêter attention au temps qui file.
Et bientôt, en plus du soleil absent, ce fut la pluie présente.

Dans ces rues en parallèles, où les bâches ne sont même pas étendues au dessus des vitrines, il n’y avait pas moyen de se trouver un abri contre la pluie. Seule option que de se dépêcher d’avancer, en espérant ne pas être trop atteint par les goûtes et l’énorme orage qui se préparait au dessus des logis.
Au bout de quelques mètres, Wolfram aperçut de loin, ce qui ressemblait à un centre commercial. En pleine ville, il n’est pas fréquent de voir de grands bâtiments qui s’étendent sur plusieurs mètres de long. Au moins serait-il a l’abris.

Pour une première fois en ville, ce n’était pas une bonne journée. Il avait pourtant décidé qu’il irait demain, mais vu l’ennui qui l’occupait, il s’était décidé à y aller aujourd’hui.
Et puis, pour sa cuisine, il lui fallait deux trois ingrédients en plus. Il avait déniché une nouvelle recette intéressante à faire en visitant la bibliothèque la semaine dernière. C’était l’occasion idéale de chercher les éléments qu’il lui manquait.

Vu de l’extérieur c’était grand, mais vu de l’intérieur, ça l’était encore plus ! Et il fallait que notre cuisto s’y retrouve la dedans ?... Il ne faut pas lui en demander de trop tout de même. Quand il n’est pas question de sa cuisine, il est perdu.

Bon du moins, il allait essayer de s’y retrouver un peu. Il était au premier étage, le deuxième étage était réservé aux vêtements, le troisième aux électroménagers et autres appareils électriques, et le sous-sol était réservé aux supérettes. Au moins les indications sur les panneaux étaient claires elles…

Il chercha les escalators, ou les escaliers, en tout cas un moyen de descendre ! Visiblement, sur toute l’étendue du centre commercial, seulement un escalator se trouvait à la fin du centre, et trois ascenseurs se trouvaient à proximités égales. Il opta pour l’ascenseur… C’était le plus proche et le plus facile à trouver.

Une fois en bas, c’est avec émerveillement qu’il s’aventura parmi les supérettes. Il y avait de tout ! Chinoise, japonaise, marocaine, française, italienne. Pleins de petits endroits mit les uns à cotés des autres. Et évidemment…. Wolfram les ferais un par un chacun.

Après un bout de temps, sortant de la dernière supérette il reprit sa respiration. Au final, même si il ne lui fallait que quelques ingrédients en plus, il finissait avec bien 2 sacs remplit jusqu’au rebord dans chaque mains. Chaque sachet contenant des choses qu’il n’avait pas forcément besoin, mais qu’il voulait acheter pour les utiliser.

Il retrouva son ascenseur, et monta directement au troisième étage, direction les électroménagers. Il était impatient de voir ce qu’il trouverait. Car, qui dit électroménagers, dis surtout ustensiles de cuisine. Même si il avait déjà une gamme complète de bricole en tout genre, il lui en fallait encore plus. Précipité, voir même un peu trop. Il ne vit pas, en face de lui, la personne qui s’apprêtait à rentrer dans l’ascenseur, alors que lui-même en sortait.
Il se la prit de face, faisant un pas en arrière et manquant de tomber, tandis qu’à cause du choc, sa main droite s’ouvrit pour laisser tomber deux des sacs par terre.

-Ha-Aie… Pardon..

Shirou était rentré chez lui voir comment allait sa famille. Il ne savait pas vraiment si c’était autorisé de quitter le lycée. Mais il avait besoin de prendre des nouvelles de sa famille et aussi de prendre l’aire. Il en pouvait plus de cette ambiance assez spécial qui régnait dans ce pensionnat. Il essai de ce convaincre qu’il avait fait le bon choix de s’être inscrit dans ce nouveau lycée.

Mais au fond il ne se sentait pas à l’aise dans ce lycée et pourtant ce n’était que la première semaine. Faut dire qu’il ne c’était pas vraiment fait d’amis et la plus part des gens le regardait bizarre comme s’ils allaient lui sauté dessus. Enfaite dès qu’il se baladait dans les couloires les gens se retournait vers lui et ça le gênait.
Il commençait juste à prendre conscience de sa beauté mais au fond il sans contre foutait, du moment qu’il avait l’argent nécessaire pour sauvé c’est la seul chose qui lui importait le reste, il sans accommoderait.

Il était dehors et marchait tranquillement en regardant les vitrines au passage. Il se sentait enfin libre comme l’aire. Il pouvait enfin se sentir lui-même. Au moins là il ne sentait pas les regards se fixé sur lui, car au pensionnat tout le monde avait les yeux rivé sur lui depuis qu’il était arrivé. Il marcha tranquillement et arriva enfin chez lui. Il entra dans l’appartement qui était dessert.

Il appela sa maman et sa sœur mais il n’y avait personne. Il resta un peu dans la maison pour les attende mais après quelques heures d’attend personne ne pointa son nez. Alors il décida de laissé un moment pour dire qu’il était passé et qu’il allait bien. Puis referma la porte derrière lui en sortant. Il était un peu déçut de ne pas voir sa maman ou sa petit sœur.

Il fit le chemin à l’envers pour rentré au pensionnat, même si le cœur n’y était pas. Au fond on pouvait lire sur son visage un désespoir total. On voyait bien qu’il allait à reculons au pensionnat comme s’il allait à l’abattoir. Il rêvassait tranquillement en marchant sans faire vraiment attention aux gens qui étaient dans la rue.
Puis il finit par sortir de ces pensées quand il sentit enfin la pluie tombé sur lui. En quelques minutes, il fut tout mouillé. Il tourna ces pieds et essais de trouver un endroit pour se mettre à l’abri. Il finit par trouver un grand magasin. Il se dirigea rapidement pour rentrer à l’intérieure sans savoir ou allait aller car il n’avait pas vraiment quelque chose à acheter.

Enfin bref, il se laissa guidé par ces pieds, qu’il l’emmena vers un ascenseur qui s’ouvra et sans vraiment comprendre ce qui se passait, il se prit violement un jeune homme. Il fut un peu sonné car le jeune homme n’était pas aller de main morte en le bousculant sans faire exprès.
Il entendit le jeune homme parler et s’excusé. Après cette bousculade, il se releva et regarda le jeune homme. Sans savoir pourquoi il l’aida à se relevé et dit :

-Ce n’est pas grave c’est ma faute je ne savais pas vraiment ou aller. Est-ce que ça va ?

Il regarda autour de lui et vit tout les paquets du jeune homme éparpillé un peu partout à terre. Il ajouta :

-Oh je suis désolé pour vos affaires. J’espère qu’ils ne sont pas abîmés.

Il se baissa et commença à ramasser les affaires du jeune dans son sac. Il n’avait pas vraiment regardé le jeune homme.

Lui non plus n'avait pas fait attention au visage de sa victime. Trop occupé à regarder les dégats de sa chute; ses courses éparpillées partout. Il s'apprêtait à aller les ramasser, quand il vit le jeune homme le faire à sa place.

-Ho, vous n'avez pas besoin de m'aider, mais merci.. C'est gentil.

Une fois toutes ses courses dans son sac il se releva, et put finalement faire attention au visage de son interlocuteur. Un beau jeune homme, cheveux chatain, yeux brun, une peau douce et un corp svelte.... Ferait-il partie de l'académie? Des beaux jeunes hommes qui se promenent sans défense en pleine ville, on en voit pas souvent.

Il lui souria doucement avant de regarder sa main où il sentait une légère douleur. Il avait bien fait de regarder, sur le long de sa paume s'étendait une légère entaille. Pas très profonde ni trop grande, rien de bien grave en soit.
Elle avait dut se faire durant sa chute surement. Il déposa ses sacs par terre après s'être mit plus sur le coté, pour laisser l'acces libre au ascenseur, et sorti un mouchoir en papier de sa poche pour tamponner sa blessure et le sang qui goutelet légèrement. Pas le choix, il ne se promène pas avec des sparadraps sur lui.

Il se tourna vers le jeune homme, qui était toujours là visiblement, il avait pourtant un ascenseur à prendre.

-Vous ne vous êtes pas fait mal? J'étais un peu trop presser, alors dans mon empressement je n'ai pas fais attention où j'allais, ni ce qui était devant moi. J'espère que vous saurez me pardonnez.

Il regarda sa main, le sang avait un peu arrêter de couler. Il rangea son mouchoir dans sa poche et reprit ses sacs en main, se rapprochant à nouveau de l'inconnu.

-Pour me faire pardonner... ça vous dirais d'aller boir un verre avec moi?

Shirou, continua à ramasser les affaires du jeune homme et quand il eu finit de tout ramassé. Il se releva. A ce moment là, il vit le jeune homme. Il ne prit aucun moment pour admirer la beauté du jeune homme car pour lui tout était futile. Puis il n’aimait pas qu’on l’examine alors il ne le faisait pas aux autres. Il remarqua la main du jeune homme qui était blessé. Shirou était quelqu’un de gentil, du moins il avait un fond bon. Sans savoir pourquoi, il prit la main blessé du jeune homme et dit :
-Humm ça va vous n’avez pas mal ? Oh attends j’ai des pansements je ne sors jamais sans, surtout par ici.

Oh oui Shirou connaissait ces quartiers et savait comme ça se passait. Plusieurs fois il avait rencontré des problèmes. Depuis il avait sut se débrouillé, de toute façon il n’avait pas le choix depuis que son père les avaient abandonné. Son sourire angélique disparut en repensant à son père. Cette douleur il ne l’oubliera jamais et personne ne pouvait combler se vide qu’il ressentait. En effet depuis sa tendre enfant il avait du se débrouillé seul car sa maman devait travailler. Il l’aimait sa maman et sa sœur, il savait que tout ce qu’il faisait c’était pour eux et garder leur maison. Il était hors de question qu’ils finissent à la rue. Il était prêt à sacrifier sa vie pour eux. Au fond Shirou n’aimait pas vraiment cette société de consommation. Seuls les pauvres savaient vraiment ce qu’était la vie dans ces quartiers. Tout en pensant à tout ça, il sortit un pansement de son sac qu’il avait en bandoulière. Puis soigna vite fait la blessé du jeune homme tendrement, comme il le faisait chaque fois avec sa sœur. Il souriait au jeune homme, car soigne cette inconnu lui rappela les joyeux moments passé avec sa sœur. Il le savait sa sœur lui manquait vraiment mais il fallait bien qu’il ramène de l’argent maintenant que son corps pour lui en fournir autant en profité même si l’idée le rendait malade. Il reprit et dit :

-Ne vous inquiétiez pas je vais bien, j’ai vu pris. Oh c’est normal de ramassé vos affaires. Et puis c’est un peu ma faute aussi si je regardais ou j’allais aussi.

Il souriait. Puis il fut un peu surpris de la proposition du jeune homme. C’était la première fois qu’on lui proposait d’aller boire un verre pour se faire pardonné. Shirou trouvait le jeune homme bien sympathique à première vu, faut dire qu’il n’avait pas tant que ça d’ennemie. D’un sens Shirou était quelqu’un de très attachant. Il ne savait pas vraiment quoi répondre, faut dire que le jeune homme l’avait prit un peu de court. Puis après un petit moment, peut être une éternité pour cette inconnu, il finit par répondre :

-Euh… Ne vous inquiétiez pas pour moi je vais bien. Vous n’avez pas besoin de vous faire pardonné mais bon comme vous me le proposé si gentiment je ne peux pas refusé surtout que je ne savait pas quoi faire et que je n’avais guère envie de rentré au pensionnat et commencer mes devoirs…

Dit-il joyeusement. Au fond le jeune homme lui sauva un peu la vie, en lui proposant d’aller boire un verre car il ralentissait le moment ou il devrait retourner à ce foutu pensionnat. Mais bon c’était pour la bonne causé. Shirou regarda la jeune homme et dit :

-Bon je vais transporter vos paquets car avec votre main vous allez surement souffrir. Donc vaux mieux pour vous que je porte si vous ne voyez pas aucun inconvénient

De tout façon il était trop tard Shirou avait déjà prit les paquets et se dirigea donc vers un café. Puis il ajouta au jeune homme pour voir s’il le suivait :

-Dit moi vous avez une idée de ou un peu aller pour boire un café ? Car a vrai dire je ne met pas souvent les pieds dans les café.

Dit-il en rigolant joyeusement. Shirou avait un rire qu’il donnait souvent du bomme au cœur et de l’espoir. Il marcha tranquillement à côté du jeune homme.

- Oh excusez-moi. Je suis mal polis je ne me suis pas présenté. Je m’appel Shirou Yumiko mais ne vous compliqué pas la vie appeler moi Shirou et vous pouvez me tutoie si vous voulez. Ça ne me dérange pas.

Shirou était quelqu’un de curieux même s’il était timide dans certain domaine, mais il aimait bien connaitre la personne avec qui il parlait du moins un minimum. Puis après avoir trouvé un café dans le centre commercial et regarda le jeune homme et demande :

- Voulez vous qu’on rentre dans ce café ou un autre ? Comme vous voulez ? Au faite vous n’avez pas dit que vous étiez pressé tout à l’heure ? peut être que vous devriez rentrer et puis pour le café ne vous inquiétiez pas ça sera une autre fois. Parce que je ne veux surtout pas vous dérangez vous comprenez.

Il se tut et reprit de plus belle.

-Dit moi vous faites quoi dans la vie ? Vous avez surement du monde qui doit vous attendre se soir pour avoir acheté toute ces provisions.

Il souriait et ajouta :

-Mais ça sent bon ce que vous avez acheté ça donne l’eau à la bouche dit donc.

Il se tut et attendit que le jeune homme daigne lui répondre et savoir s’ils allaient dans ce café ou un autre ou si le jeune homme le laissait en plant pour aller à son rendez vous très important, puisque le jeune homme était pressé c’est que ça devait être important ce qu’il avait à faire. Se disait Shirou.

Ce n’était pourtant qu’une petite égratignure, mais l’inconnu lui prit la main avec empressement et lui trouva un pansement. Ca ne faisait pourtant pas si mal que ça. Mais il le laissa faire tout de même. La main de cet inconnu était réellement douce et tiède. C’était agréable de sentir une peau si douce. Dans cette ville, les belles personnes sont rares. Pour en voir il faut se rendre à l’académie, où tout les jeunes hommes avides de sexe s’y rendent.

Il lui sourit, le trouvant vraiment sympathique. Il avait un visage et un sourire qui lui plaisait bien. Il voulait le connaître d’avantage, savoir ce qu’il faisait ici et tout. En lui proposant d’aller boire un verre avec lui, il parût surprit et mit un petit moment avant de répondre. Il crût bien qu’il allait refuser, mais c’est avec soulagement qu’il accepta finalement tout en révélant qu’il venait du pensionnat lui aussi. Il ne l’avait pourtant jamais vu… Faut dire que le pensionnat est assez grand. Même Wolfram, le cuisinier, ne connaît pas tout les élèves qui s’y trouvent.

Il l’écouta et n’eut pas le temps de protester que l’inconnu prit ses sacs dans ses mains. Il allait bien, et sa blessure ne lui faisait pas si mal que ça. Etant cuisinier, il se coupe assez fréquemment, donc il a l’habitude d’avoir mal. Il se souvient qu’une fois, le bon dieu avait été avec lui. En coupant un quelconque aliment, si il aurait pousser vraiment un rien plus sur le couteau, son doigt y serait passé. Au lieu de ça, il avait une grande coupure jusqu’à l’os sur l’index.

-Merci pour votre aide vraiment. Il ne fallait pas vous sentir obligé, mais je vous en remercie. Et je suis vraiment navré… je n’en ai aucune idée, je ne viens pas souvent dans les cafés. Ce n’est pas mon fort.

Il écouta son rire, et il ne put s’empêcher de se mettre à sourire. Il avait un rire magnifique, un rire qui efface les problèmes des personnes.
Shirou donc… C’était un joli nom. Ce nom lui disait quelque chose, peut-être qu’il l’avait déjà entendu quelque part avant.

-Enchanté Shirou, vous possédez un beau nom. Moi je m’appel Wolfram von Bielefeld. Mais tu peux m’appeler Wolf. Ca ira.

C’est vrai qu’il ne lui avait pas demandé comment, lui, il s’appelait. Peut-être qu’il avait oublié. Mais en tout cas, malgré ça, Wolfram c’était quand même présenté. C’était la moindre des choses lorsqu’on fait une rencontre.
Ils s’étaient arrêtés devant un café. Il paraissait chaleureux et accueillant, alors pourquoi ne pas l’essayer.

-Je pense que celui-ci ferait l’affaire. Ho, et c’est vrai j’ai dis ça. Mais je ne suis pas vraiment pressé au final. C’est juste que j’avais hâte de rentrer chez moi pour pouvoir me mettre à cuisiner les produits que j’ai acheté. Et ne vous inquiétez pas, vous ne me dérangez pas du tout.

Il lui sourit en douceur, de son naturel sourire doux. Au final, son sourire s’agrandit. Il aimait qu’on lui demande ce qu’il faisait dans la vie. Car pour lui, être derrière les fourneaux et cuisiner des plats qui donneront le sourire et l’appétit aux gens, c’est une grande fierté.

-Je suis cuisinier au pensionnat près d’ici. Et ce sont les prévisions qui serviront au repas de demain. Je pense que pour aujourd’hui il va être un peu trop tard pour le faire, alors je le reporte à demain, les élèves attendront.

Il rentra en premier dans le café, montrant bien qu’il n’était pas pressé et qu’il avait bien une ou deux heures devant lui pour discuter avec ce Shirou. Ils se firent accueillir par le serveur qui les conduisit à une table de deux, coté non fumeur, bien que Wolfram ne se prive pas d’une cigarette de temps à autre, quand le stress devient trop grand et qu’il faut décompresser pour ne pas péter un plomb.

Il tira la chaise de Shirou, l’aidant à s’assoir et s’asseyant en face de lui, prenant la carte des boissons que lui tendait le serveur.

-Merci.

Il l’ouvrit, jetant un coup d’œil au jeune garçon face à lui.

-Prend ce que tu désirs, je te l’offre.

Et maintenant qu’il y pensait… shirou n’avait pas dit plus tot qu’il était étudiant au total épanouissement ?

-Et dit moi… On ne s’est jamais croisé, et pourtant nous sommes dans la même académie. Cela fait depuis longtemps que tu y es ?

Shirou était un peu perturbé du jeune homme, surtout quand il comprit que le jeune homme était aussi dans le pensionnat. ° Il manquait plus que ça. Je n’ai vraiment pas de chance faut que je rencontre quelqu’un qui fait parti du pensionnat. Mal parole ça va me poursuive par tout ou je vais °Shirou essaya de ne pas montrer son malaise avec ce pensionnat et puis il ne voulait pas que le jeune homme rigole de lui. Il l’écouta parlé. Il aimait que le jeune homme parle, plus tôt que l’inverse. Au moins comme ça il se disait qu’il n’avait pas besoin de raconter sa vie ou parler du pensionnat. De plus Shirou trouvait le jeune homme qui se nommait Wolfram très intéressant.

Wolfram changeait des autres jeune hommes qu’il avait pu rencontrer au pensionnat qu’il le regardait comme une bête de sexe. Le seul faite de pensé que les gens le prenait pour une bête de sexe le rendait malade, mais il devait vaincre sa peur il le savait et n’avait plus trop le choix maintenant qu’il était lancé. Au fond, pour la première fois, il avait l’impression qu’on le regardait pour autre chose que de la viande. Il se sentait rassure même s’il avait un peu peur des intentions du jeune homme. Il fut un peu gêné que le jeune homme lui propose de payer le café, mais il accepta quand même.Il prit donc un café. Même il regretta d’avoir accepté aussi facilement que le jeune homme lui paye le café, peut-être par peur que le jeune homme lui demande des faveurs en retour qu’il ne pourrait refuser. Mais il essaie de se dire que le jeune homme n’était pas aussi avide de sexe.

Il se mit à rougir légèrement quand le jeune homme complimenta son prénom et dit :

-de même enchanté de te connaitre Wolfram. Merci mais c’est ma mère qui a choisi mon prénom.

Il fut un peu déstabilisé quand le jeune homme lui posa des questions sur le pensionnat. Il espérait que son stresse et sa gêne ne se remarquait pas. Mais il se doutait bien que le jeune homme découvrira au plus vite son secret.Il mit du temps à répondre aux questions du jeune homme, pendant se temps Shirou se triturait les doigts pour comble son stresse. Puis d’une voix pas trop rassuré surement un peu timide mais sans vraiment le voir se ton de voix le rendait encore plus irrésistible. Il dit :

-euh… Non ça va faire tout juste une semaine en faite. Et puis je préfère rester discrète. Et toi je présume que ça fait longtemps que tu as là-bas en tant que cuisinier ? Pourquoi es-tu venu dans se pensionnat pour faire de la cuisine ? Tu aurais pu ouvrir un restaurant non ? Se pensionnat te plait ?

Shirou qui avait voulu oublier se pensionnat voilà qui se mettait à posé des questions, quand il se rendit compte de ces questions. Il était trop tard pour revenir en arrière maintenant il allait parle de se foutu pensionnat qu’il voulait à tout prix oublier.Mais bon il se disait qu’il fallait bien qui s’y face au plus vite. Il se tut et attendit que le jeune homme assimile les questions. Pendant se temps là, son café arriva sur la table comme la commande de wolfram aussi. Pour se décontracter Shirou bus quelques gorgés de son café avant de reprendre la parole.

-J’espère goutter à tes plats demain car tu dois surement bien cuisiné du moins tu as l’aire d’aimer cuisiner. Pour tout te dire moi je ne suis pas doué en cuisiné mais alors pas du tout.

Shirou commençait à se décontracter avec le jeune homme. Etait-ce l’ambiance du café ou le faite d’avoir bu du café, qu’il redevenait lui-même. Au fond il se disait que le jeune homme pouvais le voir normal pas aussi mignon que tout le monde le pensait car Shirou ne se voyait pas sublime juste normal. . . Bon c’est vrai qu’avant de rentrer dans le pensionnat ou l’avait souvent dragué mais il ça ne l’avait pas surpris. Puisqu’il y avait beaucoup de gens avide de sexe dans cette société corrompu. Bien sur maintenant, il en faisait parti à contre cœur, puisqu’il avait besoin d’argent.

Il regarda wolfram en attendant une réponse. Son regard pouvait insinuer des choses dans cette société corrompu alors que pour Shirou se regard ne signifiait rien, faut dire qu’il était un jeune homme un peu naïf qui se rendait même pas compte du potentiel qu’il avait… Au fond Shirou ne pensait même pas au sexe tellement qu’il en avait horreur. Mais Wolfram pensait peut être à ça il ne savait pas et n’essayait pas de chercher à ce que pensait le jeune homme en face de lui.

Wolfram regardait Shirou, assit en face de lui dans le café. Bizarrement, il n'avait pas l'air à l'aise. Peut-être était-ce Wolfram qui le mettait aussi mal à l'aise? Il faut dire qu'il n'arrêtait pas de lui poser des questions, c'était vraiment indiscret de sa part. Bon au moins, Shirou y répondait et parlait un peu lui aussi.

Il le trouvait agréable à regarder, et même sa présence était agréable. Après tout se faire des amis est plutôt une bonne chose. Depuis que Wolfram est arrivé dans ce pensionnat il n'a croisé personne à vrai dire. Il cuisine et les plats sont directement envoyés dans la salle de repas, mais jamais il ne va lui même les apporter. Ce n'est pas son rôle que de faire le serveur. Il sourit à Shirou en l'écoutant parler, à croire par ses paroles et sa façon de parler, c'était le pensionnat qui gênait Shirou. Une chance que ça ne soie pas Wolfram lui même! Oui, Wolfram sait déchiffrer plus ou moins ce que pense les autres personnes en les voyant, en voyant leur physique et leur façon de parler/ C'était assez facil pour lui.

Il le trouvait mignon, son air gêné le rendait encore plus craquait, et apparemment Shirou ne savait pas l'éffet qu'il faisait. Ca pouvait fairte penser à autre chose ses regards ou ses paroles.

“-Je suis arrivé depuis le début en faite, donc oui, je pense que cela fait longtemps que je suis ici. Et personnellement, c'est vrai que j'aurais pus ouvrir mon restaurant, mais j'ai des choses à faire dans ce pensionnat, et je trouvais ce contexte intéressant, bien que je ne m'adhére pas aux règles. “

Il resta un moment à réfléchir, un peu perdu dans le vide. Ce pensionnat ne lui plaisait pas pour l'instant. Il était tout le temps seul, personne ne faisait attention au cuisiner, mais que à ses plats. Alors au final Wolfram ne s'occupait que de sa cuisine et préparer les plats pour des élèves qui ne savent même pas l'éxistence d'un cuisiner dans les cuisines... Pourtant ça semblait évident, tout ces bons plats n'arrivaient pas déjà tout préparer. Mais soit! Il sourit de plus belle en mettant sa solitude de coté.

“- Oui, il me plait bien.”

Bien sur, c'était un mensonge. Il soupira un peu et le serveur fini par arriver, lui apportant son chocolat liègeois. Un chocolat chaud, avec une grosse partie de crème fraîche au dessus. C'est un de ses pêchés, le chocolat. Il pourrait en manger tout le temps, mais le foie ne tiendrait surement pas.
C'est parce que la vie l'a ammené jusque là, mais si il aurait put choisir un autre chemin, il aurait fait chocolatier, pour créer lui même les décors sur les gâteaux, ou même toutes sortes de praline, avec des goûts différents et nouveaux chaques semaines. Il commençea par la crème fraîche, prenant une cuillérée et la mettant en bouche. Il reconnut directement le goût de la crème chantilly, en bombe donc, et non fait main. C'est dommage, la crème est meilleur fouettée à la main.

Au final il l'a melangea au reste du chocolat pour le rendre plus onctueux et bus une gorgée qu'il sentit passée au fond de sa gorge. Oui, c'était assez chaud! Ca lui apprendra à ne pas souffler quand il le faut.
Wolfram fut surpris par les paroles de Shirou. Il était le premier élève à penser à lui, en tant que cuisinier. Ca lui faisait vraiment plaisir. Ainsi ce soir, quand il cuisinera et quand Shirou goûtera les plats, il pensera au moins au cuisinier qui a travaillé comme un damné pour réussir ses plats et faire plaisir de son mieux aux élèves. Il reprit une gorgée du chocolat chaud, comme pour se décontracter à son tour et ressuya le peu de chocolat qui s'était déposé sur ses lèvres avant de les étirer en un grand sourire ravi.

“- Merci! J'espère que mes plats te plairons dans ce cas. Si il y a un ingrédient ou un alliment que tu n'aime pas, fais en moi part, ainsi j'éviterais de le mettre au menu. “

Il réfléchit un instant en repensant à ce qu'il lui avait dit et trouva une idée, mais peut-être que Shirou le prendrait mal... C'était à voir.

“- Si tu veux, je peux t'apprendre les bases de la cuisine, j'ai acheté de toute façon un peu trop d'alliments pour ce soir. On peut donc ce faire un casse croûte quand on rentrera au pensionnat. Qu'en dis tu? “

Dans mce pensionnat où le sexe est maître mot des lieux, la proposition de Wolfram pouvait être vraiment mal placée, mais il ne pensait pas à mal, il n'y avait pas de sous entendu dans sa phrase, ni d'idée derrière la tête. C'était seulement la première personne sympa qu'il rencontrait depuis son séjour, il était donc normal qu'il ne veuille pas de suite lui dire au revoir! Et puis ainsi, ils pourraient encore faire connaissance un peu plus.

“-Mais si tu ne veux pas je comprendrais très bien hein... Je ne voulais pas faire une proposition gênante, ni même te mêtre dans l'embarras.... Tu sais, je suis quelqu'un de très sérieux et de confiance. “

Si il lui disait tout ça, c'était pour qu'il aie vraiment confiance en lui. Normalement, quand on invite quelqu'un chez soie, c'est qu'on a une idée derrière la tête. Comme au Japon, quand une personne du couple invite l'autre chez elle. C'est forcément qu'il va se passer quelque chose. Là, Wolfram ne pensait pas à ça.

“-Aussi non tu peux seulement passer dans les cuisines en début de soirée pour me regarder cuisinier. Tu sais, je commence à bien t'apprécier. Tu n'es pas comme tout les autres du pensionnat, ceux qui ne cherchent qu'un partenaire d'un soir, toi tu es différent. “

Au moins, Wolfram avait réussit à lui dire ce qu'il pensait au plus profond de lui. La vérité en soit.

Shirou commençait à se détendre. Il n’était pas quelqu’un de coincé et n’avais pas peur sauf du sexe mais ça c’était juste un point sensible. Il se laissait aller car il fallait bien qu’il se face des amis dans se pensionnat du moins un minimum.Puis, il se sentait bien avec ce jeune homme. Il buvait tranquillement son café au lait. Il ne le trouvait pas excellent mais bon ça décoinçait. Il se demandait si c’était le café au lait qu’il buvait ou le cuisinier qui le rendait si à l’aise.

Il but quelques gorgé. Il souriait machinalement à Wolfram. Il écoutait attentivement les paroles de wolfram tout en buvant son café au lait. Il aimait regarder Wolfram boire son chocolat chaud. C’était très intéressant. Il dit sur un doux sensuel avec un regard ravageur :

-Vu ta tête ton chocolat chaud n’est pas aussi bon que ceux que tu fais si ? Enfin je dis ça parce que tu as froncé tes sourcilles quand tu as goûté la chantilly. D’un côté je te l’accord venir dans un café pareil alors que tu dois être doué en cuisinier ne doit pas être terrible.

Il rebut quelques gorges de son café et se mit à toussé quand il entendus les paroles de wolfram. Il se mit à rougir. Il avait un peu chaud. Il baissa la tête un peu gêné encore. Il releva la tête et ajouta :

-euh… oui j’aurai surement pensé à des choses pareil mais tu n’as pas l’aire ce genre de personne et puis je sais me défendre si ça ne va pas. C’est temps si je fais des choses qui ne me ressemblent pas vraiment et puis faut que je change certaine truc.

Il avait dit ça en montrant ces points pour lui montrer qu’il ne rigolait pas. Il ne se rendait même pas compte que montrer ces points ne rendait pas les gens peureux mais plus doux, car le voir remonté lui donnait un air sauvage que certaine personne adorait son petit côté de prédateur. Même si au fond, il n’en était pas un. En effet, il était loin d’être un prédateur un calculateur ou un séducteur. On pouvait croire qu’il n’avait aucune caractéristique particulier pour se pensionnat du moins pour lui, car pour les autres c’était autre chose. Effectivement, il s’était sous le charme de Shirou.

Après tout ça, il se tut en se disant qu’il était vraiment entrain de lui raconté toute sa vie. Au fond il se sentait gêné mais ne savait pas vraiment pourquoi. Il souriait intérieurement sur le faite qu’il ne lui avait pas dit qu’il avait horreur du sexe sinon là il aurait passé pour un débile. Il reprit et dit :

-C’est vrai que j’aurai surement refusé, mais bon je veux quand même réparer mes dommages quand on sais culbuté tout à l’heure et puis tu n’as pas l’air d’aimé ce chocolat alors si ça te fait plaisir de m’apprendre à cuisinier je dis pourquoi pas. Si tu m’apprends au moins je pourrais cuisinier de bons plats à ma famille. Ce n’est pas si mal et ça à des avantages aussi je pourrais être tranquille.

Il le regarda tranquillement. Il finit son verre. Quand il décida de reposé sa tasse sur la table, elle lui tomba des mains. Il fut surpris de ce que disait Wolfram. Il ne se sentait plus trop à ça place là. Il avait du mal à rester en place à ce moment précis. Il rougit de plus belle en entendant les paroles de Wolfram. Il se tritura les doigts avant de répondre aux mots doux du jeune homme :

-Euh… désoler ce n’est pas mon truc les mots tendre comme tu fais. C’est… EUH… gentil … mignon ….

Il se tut reprenant ces esprits et dit calmement :

-d’accord je passerai peut être…. Je sais que je suis différent des autres pour ça. Eh oui je ne recherche pas de partenaire, de toute façon c’est pas autorisé dans le pensionnat heureusement. Et puis ce qui compte pour moi c’est d’avoir de l’argent le reste n’a pas vraiment d’importance, pour l’instant. Enfin bref.

Il se tut. Il ramassa sa tasse et la reposa sur la table. Il tourna la tête un peu par tout pour voir si les gens c’étaient retournée pour voir le bruit. Mais il fut soulagé en constatant que non. Il dit droit dans les yeux à Wolfram :

-Bon je vais y aller faut que je rentre et puis vous avez une cuisine qui vous attend. Humm et pour se soir…

Il se tut et dit avec un petit sourire malin :

-Vous verrez bien si je viens en douce dans vos cuisine se soir ou pas…

Il se leva fière de ne pas donné de réponse définitive, même si au fond il sans doutait déjà qu’il allait passer discrètement regardé préparer à mangé car il était curieux comme garçon. Il ne se retourna pas vers Wolfram quand il partie. Il se retrouva très vite dehors sous la pluie qui n’avait toujours pas finit de s’arrêté. Il s’en alla vers le pensionnat à contre cœur mais heureux d’avoir pu pour une fois oublier sa petit vie banal grâce à Wolfram.

[Direction les cuisines aucun sujet commencer mais tu peux commencer là bas si tu veux ? ]